Étude didactique des pratiques de classe dans le secondaire au Bénin en sciences et mathématiques : Contraintes, marge de manœuvre et perspectives

Porteur de projet : Kossivi Attikleme
Statut : Terminé
Rapport final : Télécharger le PDF

Le projet part du constat que les performances des élèves au Bénin, semblent toujours faibles au regard des résultats aux divers examens (Brevet d’Étude du Premier Cycle et Baccalauréat) notamment en sciences et mathématiques malgré les efforts financiers déployés par le gouvernement béninois. Afin d’apprécier la manière dont les pratiques enseignantes s’organisent pour s’adapter au changement de paradigme voulu par l’institution, le projet vise à étendre les recherches sur l’étude didactique des pratiques enseignantes en sciences et mathématiques dans le secondaire à un échantillon plus large pour couvrir le territoire national.


Méthodologie

Le projet se focalise sur les activités relatives à la discipline concernée. Cette étude a été menée en référence à la double approche didactique et ergonomique (Robert et Rogalski, 2002, 2005 et 2008). Un échantillon représentatif d’enseignants en situation de classe dans le sud, et le centre et le nord a été constitué dans le cadre de ce projet. Ces enseignants ont été choisis suivant des critères définis.


Retour sur les résultats de cette recherche avec le Professeur Kossivi Attikleme: 


Version initiale du projet à confronter avec le rapport final

Projets de recherche

Etude préparatoire pour la mise en place d’un enseignement bilingue en Centrafrique

L’objectif global de la recherche tel que formulés dans la réponse à l’appel est de‎‎ décrire les représentations et pratiques du français et du sängö chez les acteurs du système éducatif centrafricain (élèves, enseignants, chercheurs, parents- d’élèves, administratifs, politique…) à partir de leurs discours épi linguistiques.

Motivation, démotivation et transmotivation chez les enseignant.e.s au Cameroun: tirer parti des histoires vie personnelles des différents profils et statuts connus

Au Cameroun, être enseignant.e revient à être soit fonctionnaire ; soit contractuel.le ; soit contractualisé.e ; soit permanent.e ou non permanent.e ; soit vacataire non fonctionnaire ; soit vacataire fonctionnaire ; soit maître/maîtresse des parents ; soit volontaire ou bénévole. Au même moment, à profil ou statut professionnel égal, le salaire, la sécurité sociale, le profil de carrière et la considération sociale varient d’un.e enseignant.e à un.e autre. Partant de ces constats, ce projet ambitionne de répondre à la question suivante : quels sont les mobiles d’engagement, de maintien et de départ de l’un et l’autre des différents profils et statuts d’enseignant.e. connus au Cameroun ? 

Entrée et maintien des enseignants/enseignantes dans le métier: entre discours et réalités. Une analyse des politiques d’accompagnement et pistes d’amélioration possibles

Au Burkina Faso, les besoins en enseignants sont substantiels. Ainsi, il se pose la question de leur entrée dans la formation et de leur maintien. Comment se fait l’entrée dans le métier d’enseignant ? Quels sont les dispositifs pour maintenir les enseignants dans la fonction enseignante afin de capitaliser leurs expériences et expertises ? En somme, cette recherche s’intéresse à l’attrition et à la rétention des enseignants, plus spécifiquement la question de l’engagement au travail.